NEWS LETTER AQUALYSE N° 3. Mars 2023
Alors que se dessine en France une accélération en nombre et en intensité des épisodes de sécheresse, que la vison que nous avions d’un territoire hydro-suffisant n’existe plus, l’heure n’est plus aux hésitations.
Les interventions se multiplient au sein des instances nationales et internationales sur le fait que rien ou presque ne bouge alors que les conséquences du réchauffement climatique sur la ressource sont bien réelles et maintenant quantifiables.
Pourtant, les risques pour une entreprise sont directement liés à sa dépendance par rapport à la ressource « EAU » et à la manière dont elle l’impacte en retour.
Ces risquent se manifestent de plusieurs façons :
Risque dû au contexte – Causé par des conditions environnementales et sociales changeantes :
- Physique : Quantité (raréfaction, inondation, sécheresses) et qualité (pollution)
- Règlementaire : Renforcement réglementaire, restrictions aux conséquences directes et indirectes
- Réputationnel : Perception externe de l’usage, de la pollution et du comportement de l’entreprise. L’opinion négative lorsque les écosystèmes aquatiques et l’accès à la ressource par les communautés sont affectées.
Risques dû à l’Entreprise : Causé par des produits et services inefficaces et polluants
- Physique : Problème de quantité et de qualité liés à la performance de l’entreprise et de sa chaîne d’approvisionnement
- Règlementaire : Changements possibles des tarifs, de l’approvisionnement, des droits, des standards et des licences de l’entreprise ou du secteur
- Réputationnel : Actions d’une entreprise mal exécutées, comprises ou communiquées auprès des communautés locales et que la marque en pâti.
Ces risques mal maitrisés ou pire parfois ignorés entraînent pourtant des conséquences financières mortelles.
« Un collègue m’a récemment dit que l’eau n’était pas importante car la totalité de son secteur représente moins d’1% du PIB. Le problème c’est que les 99 autres % ne peuvent rien faire sans. »
Piet KLOP – Investissements responsables de PGGM Investments
Pourtant la France a depuis peu un plan EAU présenté par le président de la République lui-même.
Il engage notre pays très en retard dans le domaine de la réutilisation des eaux usées traitées (REUT) en fixant pour objectif de passer de 1% à 10 % d’ici fin 2030, demain donc.
L’industrie est en première loge pour le faire, et bien que très difficile à admettre pour un entrepreneur par nature doté d’un sens critique fort, elle n’a plus le choix.
Pour s’en convaincre, qui eut cru il y a encore 1 an que l’industrie agroalimentaire pourrait utiliser les eaux usées traitées, le projet de Loi est pourtant sur le bureau de madame la 1ère ministre.
La technologie électrochimique AQUALYSE hybridée parfois avec des traitements de finition plus conventionnels produit des résultats remarquables et peu coûteux tant en investissement qu’en coût d’utilisation.
Les ETI, PME et petites entreprises ont désormais la capacité des grandes à pouvoir traiter et réutiliser leurs eaux usées, diminuant ou supprimant ainsi leur impact sur le milieu naturel.
La réutilisation des eaux usées n’est plus optionnelle mais essentielle, la technologie AQUALYSE est le plus court chemin pour y arriver.
« Si on veut obtenir quelque chose que l’on n’a jamais eu, il faut essayer quelque chose que l’on n’a jamais fait » PÉRICLÈS