NEWS LETTER AQUALYSE N° 9.
19 Décembre 2024
Le défi énergétique de la réutilisation des eaux usées
Chaque jour, la presse, qu’elle soit généraliste ou spécialisée, alerte sur un enjeu crucial : le coût de l’eau, qui est voué à augmenter considérablement dans les années à venir.
À titre d’exemple, au cours de la dernière décennie, les tarifs ont bondi de +43 % à Pau, +71 % à Saint-Brieuc, et +42 % à Toulouse.
Face à cette situation, il est impératif pour les entreprises de préserver cette ressource essentielle.
Au-delà de son coût, un autre défi majeur menace l’industrie : la multiplication des épisodes de sécheresse.
En 2022 et 2023, par exemple, certaines usines ont été contraintes de fermer temporairement à la suite d’arrêtés préfectoraux imposant des restrictions jusqu’à moins 60 % et moins 80 % pour deux de nos clients.
Absence de choix donc, il n’est plus question de savoir s’il faut réutiliser les eaux usées après traitement mais plutôt de le faire sans mettre en péril la compétitivité de vos entreprises.
Réutiliser les eaux usées à quel coût ?
L’un des principaux défis des procédés électrochimiques résidait dans leur consommation énergétique parfois élevée, due à l’électricité nécessaire pour déclencher les réactions chimiques responsables de la capture des polluants.
AQUALYSE a investi massivement ces quatre dernières années dans des projets de recherche et développement visant à réduire drastiquement cette consommation, conciliant ainsi performance environnementale et maîtrise des coûts.
Cette expertise nous permet aujourd’hui de proposer des solutions à la fois compétitives et peu gourmandes en énergie.
Pour ce faire, nous avons conçu des réacteurs électrochimiques innovants dotés de géométries d’électrodes spécifiques en fonction des polluants à abattre, permettant d’atteindre des consommations énergétiques par mètre cube les plus faibles du marché.
À titre d’exemple :
- Pour une blanchisserie traitant 100 m³/jour, le traitement électrochimique AQUALYSE coûte 0,70 à 0,90 €/m³, comparable au physico-chimique, mais avec des atouts supplémentaires : aucune manipulation de produits chimiques, 50 fois moins de boues, une empreinte carbone réduite, une dépollution stable malgré les variations de charges polluantes, utilisation et maintenance plus faciles et une station compacte et peu encombrante. Certains polluants, tels que les micropolluants, les PFAS, les DEHP et les nonylphénols, qui traversent les traitements physico-chimiques, sont efficacement retenus grâce aux procédés électrochimiques.
AQUALYSE démontre qu’il est possible de dépasser ce préjugé grâce à des technologies de pointe, le tout avec une empreinte carbone réduite de 70 à 85 % par rapport aux traitements physico-chimiques classiques.
Pour conclure, voici ci-dessous le témoignage d’un de nos clients :
« Mon retour sur investissement de votre système est de 18 mois. » *
Toute l’équipe d’AQUALYSE vous présente ses meilleurs vœux pour une merveilleuse année 2025 !
Notre mission ?
Vous
En faisant confiance à AQUALYSE, vous adoptez une approche durable et respectueuse de l’environnement, parfaitement alignée avec les défis actuels, et transformez vos dépenses en véritables opportunités d’économies.
Dominique RAULT
Président d’AQUALYSE.
* : avec une aide de l’Agence de l’Eau de 50 % sur les CAPEX